Quand je pense « santé de la femme », je cogite d’abord au paradoxe qu’il constitue dans le monde de la santé : d’un côté les femmes ont en général un nombre significativement plus grand de consultations que les hommes, en raison des suivis gynécologiques inhérents à leur condition de femme. Dès l’adolescence, les femmes sont en contact avec les professionnels de la santé pour la gestion de leurs menstruations et des maux en découlant. Ces suivis liés à leur statut féminin se poursuivent jusqu’à la ménopause minimalement.
À qui s’adresse ce document ?
Aux personnes intéressées à comprendre l’expérience de santé féminine dans le réseau québécois et les spécificités de celle-ci.